A y est, on est à 100%
Jool et Lili viennent de nous rejoindre à Helsinki.
Il commence à faire grand faim!
Le Paris-Helsinki avait 30 minutes de retard. Et nous apprenons que le Helsinki-Narita est déjà annoncé avec 25 minutes de retard.
Nous sommes 10… C’est que ça fait du monde!
Bien, maintenant, il y a un point super important à régler : recharger les consoles! On aura 9 heures 30 à occuper. Heureusement pour nous, l’aéroport d’Helsinki est bien fait pour les touristes et nous trouvons facilement des prises disponibles près du snack où nous nous posons pour grignoter.
Une grande bière et un sandwich plus tard, ça commence à aller mieux. Je doublerai bien, mais je pense que nous aurons de quoi manger dans l’avion.
Nous passons assez rapidement le contrôle de passeport.
Nous rejoignons sans soucis la porte d’embarquement. On profite de la présence de prises de courant pour charger un peu plus les consoles et téléphones. Un groupe de 10 dont 5 gamers… il risque d’y avoir un gros tournois de Mario Kart dans l’avion.
17:20 (heure locale, 16:20 à Paris), l’embarquement commence. Tout notre joyeuse équipe est dans le groupe 4, sauf moi. Aussi, j’abandonne temporairement la bande et embarque avant eux. Point étrange, nous étions censés avoir des places “grandes jambes”, et je suis le seul à en avoir.
17:34 (heure locale), la 1ère annonce en japonais. Ça y est, ça commence!
22:30 à Paris, 23:30 à Helsinki, 5:30 à Tokyo… bon, faisons simple, parlons “heure locale”. Mais là, nous sommes encore dans l’avion et je ne sais pas quelle heure il est au sol! Nous arrivons dans environ 3 heures. Tout le monde roupille… Enfin presque tout le monde! Mim et moi nous posons par terre, devant une des issues de secours pour papoter un peu avant de retourner sagement chacun à sa place.
Le petit-déjeuner est encore loin, mais j’ai faim! Le premier plateau repas est passé il y a un peu plus de 5 heures maintenant. Là de suite, j’avalerai bien un plateau de sushi… ou une fondue!
minuit à Paris, 7:00 à Tokyo : petit déj!
8:35 (heure locale) : \o/ on y est \o/
Et à partir de là, je n’écris plus qu’en heure locale. Il faut enlever 7 heures pour avoir l’heure de Amsterdam, Paris ou Berne.